Découvrez pourquoi l’opus a été élu plusieurs fois “album de l’année 2023” et pourquoi vous ne pouvez pas rater ce concert !
Le journal britannique de référence The Guardian a récemment décrit Lankum comme “une folk irlandaise radicale et bouleversante” et les a situés entre “la période tardive de Portishead et Sunn O))) autant que leurs ancêtres irlandais Planxty.” Il n'est donc pas surprenant qu'ils se produisent dans des festivals comme Roadburn (NL) ou qu'ils curent des festivals en invitant Mogwai ou Mercury Rev. Leur dernier album False Lankum a été décrit par Mojo comme “l’OK Computer de la musique folk moderne”. Et tant The Guardian qu'Uncut ont sacré False Lankum - à juste titre (!) - album de l'année 2023. La Volkskrant, dans une critique ***** : “Sur le chef-d'œuvre ‘False Lankum’, la musique irlandaise antique prend une aura horrifique.”
- ‘Le folk extrême de Lankum: Avec leur nouvel album jusqu’au-boutiste, les Dublinois de Lankum poussent la musique traditionnelle irlandaise dans ses derniers retranchements.’- Focus Le Vif
- ‘The 50 best albums of 2023, No 1 – Lankum: False Lankum. Wrangling Irish folk into expansive new territory, the group’s stunning harmonies lead us through delicate beauty and nightmarish cacophony’ – The Guardian
- ‘Het pas verscheen False Lankum, het vierde en verpletterende album van de Ierse band Lankum, is een plaat van uitersten geworden. Lieflijke folk ontspoort in een kakofonie van sonisch geweld. Traditionele muziek van soms eeuwen oud wordt met het juiste gevoel voor vernieuwing naar deze eeuw vertaald.’ – De Morgen
- 7.7 ‘The Dublin group has spent a decade making folk music sound foreign and transfixing. -Its spellbinding new album uncovers eerie new depths in centuries-old forms.’ – Pitchfork
- ‘Dublin experimental folk group Lankum deliver a bold and briny fifth album, False Lankum. Anyone dealing with folk music in the 21st century is working with salvage, with flotsam and jetsam from ages gone. Lankum have found a convincing way to keep the damn hulk going, stoking the engines of folk tradition and setting course to who knows when.’ - UNCUT